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Témoignages: Vivre sa grossesse et son post-partum pendant le confinement.

Premièrement, nous vous remercions d’y avoir répondu!
Nous vous partageons donc ces témoignages à la fois forts,
touchants et solidaires ici sur le blog, ainsi qu’en story instagram.

Nous espérons de tout coeur que cette démarche vous aidera et
créera une chaîne de solidarité entre futures et jeunes mamans. ❤️

 

POUR TÉMOIGNER


Vous êtes en fin de grossesse ?
Vous venez d’accoucher ?
Racontez-nous comment vous vivez cette période et nous le partagerons.

En vidéo, à l’écrit, quel que soit le format, dites-nous comment vous vous sentez, comment vous vous préparez, quelles sont vos solutions et ce que vous souhaitez partager!

Sur Instagram ou Facebook en MP,
Par mail : hello@jolibump.com
ou même Whatsapp : 06.10.42.90.78

VOS TÉMOIGNAGES

 

Marine : Enceinte de 5 mois

« Très chère équipe Joli Bump,

Tout d’abord, un grand bravo et merci pour votre marque, vos vêtements et votre bienveillance.

Je suis une future maman, un futur un peu lointain, parce que je suis à 5 mois de grossesse, mais les angoisses sont grandissantes malgré tout…

Ma grossesse fut une surprise, une magnifique surprise, mais une surprise quand même ! Avec mon copain, nous avons décidé de tout faire ensemble. C’est le plus important pour nous, car cela nous aide à rendre cet évènement concret et surtout à comprendre au jour le jour ce qu’il nous arrive, ce qu’il se passe dans mon corps et c’est ce qui nous aide à nous construire comme futurs parents.

Nous avons 31 ans, mais nous nous rendons bien compte que l’âge ne nous donne pas miraculeusement les clefs pour ce genre de chose. Nous avons réussi à surmonter toutes nos angoisses et la première phase de la grossesse qui était très compliquée, et cela, parce que tout se fait à deux.

Pour les prochains rendez-vous, je vais devoir y aller toute seule et d’un seul coup, tout remonte à la surface… c’est la raison pour laquelle, je suis effrayée. Parce que j’ai peur qu’il y ait un problème et qu’il ne soit pas là pour m’épauler, mais aussi j’ai peur de manquer une information ou d’en oublier. De plus, je me sens un peu coupable d’être la seule à revoir le petit corps de notre bébé à travers l’écran ou bien même de découvrir si nous serons parents d’une fille ou d’un garçon.

De toute évidence, ma situation n’est en rien comparable à celle des futures mamans qui vont accoucher dans les prochaines semaines et à qui je pense chaque jour. Cependant, je me sentirai mille fois plus chanceuse cet été, si nous avons la chance de vivre l’expérience de l’accouchement et de la maternité à deux.

Il est important pour moi de partager ce petit bout d’expérience avec vous en réaction à votre appel à témoignage.

Merci encore et courage à vous aussi pour cette période de confinement.
Prenez bien soin de vous et de vos proches.

Amicalement, »

Marine


Clémence : Enceinte de 8 mois et demi

« Coucou Joli Bump,

Je suis actuellement à 34 sa et je dois mettre au monde un petit garçon mi mai. Alors, comment je vis ma grossesse en période de confinement ?
Je suis un peu partagée… J’ai l’impression que le confinement nous ramène à l’essentiel. D’abord, je suis bizarrement moins stressée de ne pas avoir la chambre du baby prête et remplie de meubles. Puis, je me suis focalisée sur l’essentiel : ma santé, la sienne, lui prendre un lit et des vêtements, profiter des derniers moments à deux avec Papa à la maison… Enfin, je fais mes cours de préparation à l’accouchement en visio conférence, le Corps médical s’adapte et est toujours aux petits soins avec nous!

Seul bémol à ce confinement : La possible interdiction du papa à assister à l’accouchement… Je suis tellement triste pour lui, d’autant plus qu’il commençait tout juste à se rendre compte que sa vie allait changer ! Mais je comprends vu la situation…

Par ailleurs, voici les astuces de ma sage femme pour pouvoir s’y préparer psychologiquement : faire choisir les premières affaires du bébé au papa, avoir un T-shirt avec l’odeur du papa comme doudou pour bébé, etc…

Il faut garder espoir et il ne faut pas oublier que d’ici là, peut-être que les choses auront changées et se seront arrangées. Espérons-le de tout cœur pour toutes les mamans 😊 Je retourne à mon tricot pour ma part, j’ai 2-3 brassières en laine à faire pour remplir ma valise de maternité pour ma part ! J’ai déjà les chaussons de fait ! (en PJ)

Bon confinement à vous ! »

Clémence


Maeva : Maman d’une petite fille de 3 mois

« Après une grossesse super (à l’aise dans mes pantalons Jolibump ❤️)
et après cela, un accouchement rapide, j’ai eu beaucoup de difficultés avec la période du post-partum.

Je ne m’étais pas du tout renseignée sur cette période, je me disais juste que j’allais être très fatiguée et qu’il faudrait me protéger en ne pensant qu’à mon bébé et à moi. Pendant les 10 premières semaines, j’ai pleuré non stop, je me suis sentie seule puis je me suis sentie isolée, épuisée, désemparée, je m’en voulais pour tout. De plus, l’allaitement a été traumatisant… De toute évidence, je n’arrivais pas à voir le positif dans tout ça (alors que ce bébé on l’avait voulu très fort).

Ma fille a maintenant 3 mois et je commence à aller mieux.
Après cela, je voulais dire au futures mamans de ne pas hésiter à lire un peu sur cette période du post-partum, il y a de jolis livres, très bienveillants sur le sujet qui valent la peine d’être lus, sur ce fameux «4ème trimestre».

Et je dirai qu’il est bon de se renseigner en amont sur les personnes à contacter en cas de doute ou de dépression. Je n’ai pas eu la force de faire ces recherches quand j’étais au fond du trou et je n’ai pas su trouver les mots pour demander de l’aide. De ce fait, je sais que pour une prochaine grossesse, je donnerai le numéro de la psy de la maternité à mon chéri pour qu’il prenne rendez-vous pour moi si besoin.

En conclusion, la maternité est une aventure incroyable, mais je crois qu’il y a un manque d’information énorme sur le post-partum!

En tout cas, c’est une super initiative de faire ce partage,

Merci Joli Bump 😍 »

Maeva


Lauranne : Maman d’un bébé de 1 mois et d’un petit garçon

« J’ai accouché le 4 mars,
donc un tout petit peu moins de 2 semaines avant le confinement.

En premier lieu, quand l’annonce du confinement a été faite, on a décidé avec mon mari de « fuir » dans le sud chez mes parents avec nos 2 petits chats, notre tout petit riquiqui de moins de 2 semaines et notre «grand» de 21 mois, qui aurait difficilement pu vivre sereinement ce confinement dans notre petite maison sans jardin. De toute évidence, nous avons beaucoup de chance, car il faut reconnaître que ce confinement a presque des airs de vacances avec le soleil, le grand jardin et la famille proche. Alors, on reste à la maison, on ralentit, on se balade dans le jardin, on prend le temps et on profite les uns des autres.

Finalement, si nous n’avions pas été confiné, mon mari aurait repris le travail, (merci le congé paternité de 2 semaines…). J’aurais ainsi été seule à gérer mes 2 amours. Avec d’un côté, un grand qui apprend à gérer ses émotions et qui a besoin de courir beaucoup et partout ! Mais aussi, avec un tout petit, qui est collé au sein… Comme cette semaine, par exemple, où il est en plein pic de croissance…

Finalement, je vois le verre à moitié plein. Merci le confinement de me permettre de vivre ce post-partum un peu plus sereinement.

(Sachant que tout le monde dans ma famille est en bonne santé, respecte les consignes et reste chez soi. de plus, nous espérons que tout le monde fera de même. Étant encore pleine d’hormones, j’évite aussi de regarder de trop les infos anxiogènes du moment…) »

Lauranne


Domitille : Enceinte de 8 mois et maman d’une petite fille

« Bonjour,

Voici ce témoignage de ma part.

Vendredi, je passerai le cap des 31 semaines. J’ai hâte ! Il est vrai qu’à chaque fois que je peux rajouter une semaine au compte total, cela me détend et me soulage.

La grossesse commence vraiment à se faire sentir, alors que jusqu’au 6ème
mois, j’étais fraîche comme tout et du coup j’allais au sport trois fois par semaine.

Bébé a décidé de se mettre tête en bas il y 1 mois. Résultat : douleurs ligamentaires, sciatique et évidemment plus de sport, car le col est ramolli. Les salles de sports sont fermées donc même dans le meilleur des cas, je n’aurai pas pu y aller!

Je sais que chaque grossesse est différente, mais ma première est arrivée à 34 semaines et 5 jours. Cela a été une grosse surprise pour nous (notre fille est en pleine forme aujourd’hui). Par conséquent, je suis hantée par cette fin de grossesse et la peur que ce soit encore plus tôt pour celle-ci.

Les maris sont encore admis dans ma maternité. Mais après l’accouchement, je devrais rester seule jusqu’à ce que bébé soit en état de sortir. Cela peut être long et me fait peur. Aussi, le fait de penser que je ne vais pas voir ma famille et laisser mon mari et ma fille de 18 mois seuls plusieurs semaines me donne la boule au ventre. J’essaie de ne pas y penser, et de vivre ma grossesse sereine. Je me dis que si bébé veut arriver plus tôt, je ne pourrais rien faire de toute façon.

De toute évidence, il existe toujours des cas bien pires ! Je voulais tout de même vous transmettre mon témoignage 😉

Voilà,

Bonne journée à vous et aussi mes félicitations
pour vos jolis tee-shirts ! »

Domitille


Lisa : Maman d’un petit garçon de 1 mois

« Bonjour,

Je viens de voir votre appel à témoignage concernant
la grossesse et post-partum pendant le confinement.

J’ai accouché d’un petit garçon il y a 6 semaines.

Nous avons tellement désiré cette grossesse. Pourtant, tout a été assez compliqué. Tout d’abord, c’était une grossesse angoissante avec un accouchement à J+11 et des suites de couches très difficiles. Puis, j’ai perdu beaucoup de sang qui ont nécessité deux transfusions à la maternité, je suis sortie de la maternité avec une angine qui m’a cloué au lit quelques jours. En dernier lieu, à J+10 je suis de nouveau hospitalisé pour suspicion de rétention placentaire.

Du coup, à cause de tout cela, je suis épuisée. De plus, mon allaitement est tellement douloureux et je ne sais pas trop à qui demander de l’aide dans cette période. Je pleure tous les jours, alors que je voulais tellement ce bébé.

Puis, lors de la visite des 1 mois, le pédiatre passe l’essentiel de la consultation à parler avec moi plutôt que d’occulter mon bébé qui va bien. Il me donne le numéro d’une psychologue. En réalité, cette consultation a été un vrai déclic et je suis ses conseils: prendre soin de moi pour prendre soin de mon bébé.

Merci de nous proposer de nous exprimer sur le sujet.

Belle journée »

Lisa


Claire : Enceinte et maman d’une petite fille

“Confinement compte double.

Je bouge, je barbote, je danse, je me tourne dans un espace étroit et clos.
Au chaud, blotti et protégé. Par contre, j’ai remarqué que les bruits assourdissants autour de moi se font moins nombreux ces derniers temps. Je ne sais pas pourquoi. À la place, j’entends de plus en plus de chants extérieurs qui me bercent et m’apaisent. En fait, je suis confiné, protégé et je grandis.
Je n’ai pas vraiment hâte de sortir.

De mon côté, je bouge, je danse, je tourne entre les quatre murs de la maison. Mais aussi, je joue à l’institutrice avec ma petite. Malgré mes bonnes intentions et les trésors pédagogiques donnés par la maîtresse ou internet, je me cogne parfois, souvent, au caractère indomptable et dissipé de mon enfant.

Heureusement, on se partage la tâche avec mon mari. Un peu de télétravail par ci, un peu de pâte à modeler par là. Et puis, on se retrouve tous en chantant des mantras qui nous apaisent ou en se déchaînant sur la piste de danse improvisée du salon.

Je commence à distinguer de mieux en mieux les voix autour de moi :
D’abord, celle de ma mère qui me porte, puis celle plus grave de mon père et enfin celle aigue de ma sœur.

Ils me parlent à tour de rôle pour me dire leur envie de me connaître, mais aussi qu’ils veulent me prendre dans leurs bras et jouer avec moi. Bientôt. J’écoute, c’est encore très inconnu pour moi tout ça. Le monde extérieur, non marin, qui est en fait, un peu inquiétant. Donc, je me laisse guider par ces voix repères qui seront là à ma sortie pour me guider.

Au fur et à mesure des jours, je commence à distinguer de mieux en mieux les chants des oiseaux, je constate que le printemps est là, princier. Par la suite, le flot des voitures a peu à peu cessé. En fait, j’entends de mieux en mieux la voix de la nature. Quand le soleil est là, nous sommes tous plus apaisés. La journée nous sourit et le temps s’étire. Finalement, faire la classe me réjouit de plus en plus.

Boum, boum, boum, un autre cœur bat contre le mien. Alors, je suis son rythme. Il me berce. Je voudrais étirer mes jambes, car malgré tout, ça commence à devenir un peu serré ici. Un nouveau sentiment apparaît :
je suis partagé entre le bien-être que je ressens et un désir étrange.
Une curiosité, une soif, mais aussi, une insatisfaction.

À quoi me servent donc ces mains, ces doigts, ce nez ? Dans mon liquide amniotique, j’ai le pressenti d’un ailleurs. il faut reconnaître que, pour lui, je sens que je suis prêt à me brûler les poumons et ouvrir mes yeux. Il s’agit de l’appel de l’air. Boum, boum, boum, des petits pieds tapent sur la paroi de mon ventre. De toute évidence, le bébé exprime son envie de sortir. Le terme s’approche.

Toutefois, le soir, j’ai du mal à trouver le sommeil. En fait, je me pause beaucoup de questions : Vais-je devoir accoucher à la maison ? Trouverais-je une place à l’hôpital ? Mais, mon mari me rassure, les mesures de confinements ont aussi été prises pour que les femmes enceintes puissent continuer à accoucher. Oui, oui, je sais mais quand même.

En fait, je n’avais pas prévu de gérer cette angoisse nouvelle. Alors, je pose ma main sur mon ventre. Mon futur enfant vient s’y blottir et me réconforte à son tour. Puis, je sors de la maison pour « mon déplacement bref lié à mon activité physique individuelle. »

Mon appel d’air ! « 

Claire


Gwenaëlle : Enceinte de 5 mois

“Merci pour ces témoignages.

Je suis à 21SA et en Belgique, les règles ne sont pas totalement les mêmes qu’en France. Mais ça fait du bien de voir comment d’autres
(futures)-mamans le vivent.

Pour moi la difficulté, c’est d’impliquer le papa. Nous sommes passés par une FIV qui a fonctionnée fin novembre. Il était très présent dans toutes les démarches, et lors des premiers rendez-vous de début de grossesse.
Mais là, je fais tout toute seule: rencontre de la sage femme, suivi mensuel et bientôt la « grosse » écho morphologique du second trimestre.

Il travaille dans un secteur très sollicité par cette crise, moi je suis en arrêt de travail… alors l’écart se creuse.

Je m’occupe des achats : vêtements, matériel de puériculture et de la chambre. Je mets à jours notre carnet d’adresse pour les faire-part, j’ai fais la liste de naissance qu’il n’a pas l’énergie de regarder après 12h de
boulot…

On dit que les pères ne se rendent vraiment compte que quand ils voient le bébé mais tous ces préparatifs aident aussi je pense. Alors bien sûr, rien de grave, nous ne sommes pas malade et ça paraît ingrat de «se plaindre».

Mais, à une époque où l’on parle de charge mentale et de charge émotionnelle, je pense que tout est remis en cause.

Les équilibres parfois fragiles que l’on a (parfois aussi) mis du temps à instaurer sont ébranlés. Et se préparer au plus gros changement d’une vie (c’est notre 1er enfant) dans un tel contexte, ne facilite pas les choses…

Merci en tout cas de votre marque et de votre compte, je vous suis avec beaucoup d’intérêt.

Courage à vous également, j’espère que vous ne souffrirez pas trop de cette crise ! « 

Gwenaëlle


Aude : Jeune maman d’Oscar 20 jours

« Bonjour Jolibump!

Je suis l’heureuse maman d’un petit garçon Oscar né le 1er Avril, avec 15 jours d’avance pour le plus grand bonheur de ses parents.

Très vite, avec l’obligation de rester chez nous, nous avons su avec son papa que ça serait un bébé du confinement. Notre anxiété a très vite pris le dessus, à savoir si oui ou non, le papa pourrait être présent.

Après plusieurs coups de téléphones à notre maternité, et ce à plusieurs jours d’intervalles, nous comprenons qu’il ne sera pas possible pour lui d’être présent lors du séjour à la maternité et que pour l’accouchement,
les décisions sont prises au jour le jour …

Notre inquiétude se portait vraiment sur la présence ou non de mon mari à la naissance. Nous avions peur que le papa passe à côté de ce moment magique et de la première rencontre avec son bébé.

Le 1er Avril, arrive, je me mets en travail spontanément et nous nous rendons à la maternité.

Et la, grand moment de bonheur, il n’y a pas grand monde aujourd’hui à la maternité, le papa peut rester pour la naissance et repartira après les 2 premières heures de la naissance du bébé. Nous sommes super heureux et toute notre inquiétude s’envole, nous allons vivre ce moment tous les 3, comme prévu.

L’équipe est au top et à nos petits soins pour s’occuper de nous malgré tous les protocoles à respecter. Et équipe encore plus au top car ils nous laissent 4 heures en salle de naissance et non 2h pour que le papa puisse profiter de son bébé. Un très beau moment de partage.

Le séjour à la maternité fut beaucoup plus compliqué pour moi. Je me suis retrouvée seule avec mon bébé et sans mon précieux repère, mon conjoint. Heureusement, la maternité accepte de me laisser sortir après 48H. Une immense joie de se retrouver tous les 3!

Un immense merci en tout cas à tous les professionnels de la maternité qui malgré cette période critique ont su être extrêmement présents pour nous et savent s’adapter à toutes les situations. Malgré, toutes ces inquiétudes vécues en amont de l’accouchement. La naissance de mon bébé est un excellent souvenir et je ne changerai rien, pour rien au monde.

Un immense merci Joli Bump de partager nos témoignages.

Très belle journée à tous, »

Martin, Aude et Oscar


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Je suis Marie Boyer-Aubert, la fondatrice de Jolibump. Il s’agit de la première marque française à proposer une mode durable à porter avant, pendant et après la grossesse.

Chaque épisode est une rencontre avec une femme pour l’interroger sur sa vision et son vécu de la maternité, sur la relation de la femme qu’elle est à la maman qu’elle est devenue et sur la transmission.

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